« La question n’est plus : vais-je subir une cyberattaque, mais quand ? »

11 février 2021

Ouest-France sur sa « une » du mardi 2 février a mis en avant l’explosion des cyberattaques envers les entreprises de toutes tailles. Plusieurs articles consacrés à cette menace, aujourd’hui à son apogée, y sont consacrés.

Iliane vous propose un focus des informations essentielles à retenir sur ce sujet hautement prioritaire. Vous accompagner dans la mise en place de boucliers, vous prémunir des assaillants ainsi que des risques de perte et de fuite de données est, nous pensons, primordial.

9 entreprises sur 10 ont été victimes de cyberattaques en 1 an

Dans 45% des cas ce sont des raisons financières qui motivent ces attaques. Les hackers utilisent alors des ramsomwares. Pour l’entreprise touchée, les conséquences peuvent être désastreuses : il faut compter minimum trois semaines pour se remettre sur pied. Il est alors important de réduire sa surface d’attaque au maximum pour se prévenir de ces cyberattaques : en effet elles ne sont détectées en moyenne que 94 jours après l’intrusion des voleurs dans le système informatique.

des entreprises ont déjà connu des attaques par rançongiciel

des entreprises françaises n’ont pas de plan de réponse aux incidents robustes

Coût de la cybercriminalité, estimé par l’ONU pour l’économie mondiale

Les conseils de G. Poupard, directeur général – ANSSI

« Les entreprises ont subi quatre fois plus d’attaques par rançongiciel en 2020. Le développement du travail et un affaiblissement de la sécurité des réseaux des entreprises en est une raison mais c’est surtout le gain financier facile qui motive les hackers.

Aujourd’hui, tout type d’entreprise, de la TPE au grand groupe peut être la cible d’une cyberattaque. Les hackers ont pris l’habitude d’adapter la rançon à la taille de structure. Il est donc important d’effectuer des sauvegardes de ces données et de les mettre régulièrement à jour. »

Les reflexes à adopter si mon entreprise subit une cyberattaque

Le contact avec l’ANSSI ou la police cybermalveillance est indispensable pour bien être accompagné. En France, 5400 gendarmes répartis sont formés aux nouvelles technologies.
 
Il faut également trouver des moyens  de ne pas nourrir les réseaux des criminels en payant une rançon et trouver des moyens de pouvoir remonter à la source de l’attaquant en traçant la blockchain.
 

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